EnseignementsTrois phases successivesLe premier cycle pédagogique s'organise en trois phases successives :
Les languesDès l'âge de 7 ans, les élèves sont confrontés à deux langues étrangères qui sont pratiquées en alternance sur des périodes de 6 semaines. Il s'agit, à l'école Mathias Grünewald, de l'anglais et de l'allemand. Là aussi, on tient compte du développement des enfants : la première rencontre avec les langues étrangères s'appuie sur la forte capacité d'imitation des enfants leur permettant de pénétrer la langue par la sonorité et le geste et surtout d'éduquer ensuite l'oreille aux sonorités étrangères. Les cours artistiques et manuelsDès la première classe, les enfants peignent, dessinent et modèlent, récitent, font des pièces de théâtre et jouent de la musique. Dans le cours de travail manuel, on tricote, on fait du crochet, on brode et plus tard on coud. En 6e classe débutent les ateliers : sculpture sur bois, ébénisterie, menuiserie et cours de jardinage pratique. La musiqueLa musique est une matière importante dans les écoles Steiner-Waldorf ; les activités musicales sont régulières : tous les enfants apprennent à jouer de la flûte à bec ou de la lyre ; assez jeunes, ils commencent à apprendre à jouer d'un instrument d'orchestre ou de piano. Mouvement : l'eurythmie et le sportL'eurythmie (« juste rythme » en grec) est un art du mouvement crée par Rudolf Steiner. Le langage et la musique y sont ressentis artistiquement par les mouvements du corps. Il y a deux heures d'eurythmie par semaine tout au long de la scolarité, auxquelles s'ajoutent des heures consacrées aux jeux en plein air, aux activités sportives et à la gymnastique Bothmer. Théâtre, voyages...Les huit années de premier cycle sont rythmés par plusieurs événements, choisis en fonction de l'âge des enfants : théâtre en 8e classe, petits projets de construction en 3e classe etc. Par ailleurs, les élèves présentent régulièrement leurs travaux à la communauté de l'école lors des fêtes de trimestre.
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« Vous ne les comblerez point de formules qui sont vides, mais d'images qui charrient des structures » Antoine St Exupéry |